ZOOM : visite de l’entreprise Safran Aero Boosters pour les membres de SynHERA

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La décarbonisation : c’est l’un des défis de Safran Aero Boosters qui conçoit et produit des modules, équipements et bancs d'essais pour les moteurs d’appareils aéronautiques et spatiaux. Et cette thématique, les membres du réseau SynHERA ont eu la chance de l’approfondir puisque les responsables de l’entreprise ont accepté de leur ouvrir les portes du site de Milmort (Herstal). L’occasion pour tous ces scientifiques d’échanger autour des grands enjeux de l’aviation du futur, une des nombreuses priorités du plan de relance de la Wallonie. 

Ils étaient 13 chercheuses et chercheurs à avoir fait le déplacement jusqu’à l’entreprise Safran Aero Boosters, site de Milmort, le mardi 10 mai 2022. Une visite, placée sous haute sécurité, qui leur a permis d’en savoir plus sur cette entreprise de renommée internationale et sur ses activités de Recherche et Développement. 

Au programme de cette journée bien chargée ? Présentations, mais aussi visite de l’entreprise et de ses sites de productions. L’après-midi, les rôles se sont inversés puisque ce sont les scientifiques issus de plusieurs Hautes Écoles et Centres de Recherche associés (EPHEC, HEPL, ICHEC-ECAM-ISFSC, Condorcet, HELMo, HELHa et HE2B) qui ont fait part de leurs expertises et de leurs thématiques de recherche auprès de l’équipe de SAB. « Il y a eu une réelle bienveillance de la part de Safran Aero Boosters vis-à-vis des Hautes Écoles. Le personnel ne nous connaissait pas, mais a vraiment émis le souhait de mieux comprendre nos activités », nous explique Nathalie Gerlach au terme de cette journée. La coordinatrice de recherche de la Haute École de la Province de Liège avait déjà eu l’occasion de se rendre dans l’entreprise il y a vingt ans de cela, « mais cela a tellement évolué. J’ai redécouvert le site ».

Notons qu’outre les opportunités de coopérations entre le monde académique et le monde socio-économique qu’une telle journée peut apporter, ce type d’événement est une réelle opportunité pour les membres du réseau SynHERA de pouvoir réseauter et (re)découvrir les recherches des uns et des autres. « J’espère que ces nombreux échanges sont les prémisses de belles collaborations futures », s’enthousiasme d’ailleurs Michele Buscemi, conseiller scientifique SynHERA qui a participé à cette journée. 



 
 

 

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