Du 30 octobre au 5 novembre, Sabine Dossa et Cédric Bister, directrice et responsable des relations internationales chez SynHERA, ainsi que Catherine Dans, chercheuse à la HELMo, ont représenté notre réseau au Québec. Une mission qui a contribué au rayonnement de la recherche appliquée au sein des Hautes Écoles et Centres de Recherche associés au niveau international. Cette semaine a également permis à ces trois représentants de présenter leurs activités, d’échanger leurs bonnes pratiques et de développer de nouvelles collaborations avec les différentes instances québécoises.
Cédric Bister, responsable des relations internationales, nous explique cette mission qui s’est déroulée en deux étapes. Tout d’abord à Montréal où avec Sabine Dossa, directrice de SynHERA, ils ont eu l’opportunité de rencontrer plusieurs structures en innovation sociale. L’objectif ? Mieux comprendre les bonnes pratiques et les outils à propos de la valorisation de la recherche en Sciences Humaines et Sociales. « En Sciences Technologiques, c’est assez simple de prouver la plus-value d’une recherche qui a abouti, par exemple, au développement d’un produit. Tandis qu’en Sciences Humaines et Sociales, cela peut s’avérer plus compliqué, moins tangible… Lors de ces rencontres, nous avons pu discuter des indicateurs adéquats que nous pouvons mettre en place afin de valoriser la recherche en SHS et de montrer son impact concret sur la société ».
La seconde mission s’est, quant à elle, déroulée à Québec où était organisé le congrès de l'atelier des experts par SynCHRONEX, le Réseau des Centres Collégiaux de Transfert de Technologies (Réseau de CCTT). Lors de cet événement, nos deux représentants SynHERA étaient accompagnés de Catherine Dans, chercheuse à la HELMo qui y a présenté un poster sur « Le patient partenaire en soins infirmiers ». En outre, ce congrès a permis à Sabine Dossa de présenter notre réseau tandis que Cédric Bister a mis en lumière les collaborations internationales développées par SynHERA aux quatre coins du monde.
« Cette mission québécoise a aussi permis à notre réseau de renforcer sa visibilité avec les instances internationales, comme le consulat de Belgique au Québec », indique Cédric Bister qui ajoute en souriant : « Je suis rentré en Belgique avec des dizaines de cartes de visite. Toutes ces rencontres, ces échanges… vont, j’en suis certain, porter leurs fruits, et faire naître de nouvelles collaborations entre les scientifiques de la Fédération Wallonie-Bruxelles et les scientifiques québécois du réseau SynCHRONEX ».
Le réseau SynHERA représenté au Québec